Monsieur Duboëlle, pourriez-vous revenir sur le moment de votre carrière où vous avez compris que l'architecture serait votre vocation ?
J'ai toujours ressenti un besoin viscéral de créer. Ce désir s'est manifesté dès mon adolescence, lorsque mes parents m'ont offert mon premier coffret d'aquarelle. Derrière ces tubes de peinture colorés et ces pinceaux, je découvrais un univers infini de possibilités.
Au fil des années, le dessin et la peinture sont devenus mes compagnons inséparables. J'ai passé des heures à observer le monde qui m'entourait, à capturer la lumière, les ombres, les mouvements. Chaque tableau était une aventure, une exploration de moi-même. Exposer mes œuvres a été une expérience marquante. Voir les regards des visiteurs se poser sur mes créations, sentir leurs émotions résonner en moi, m'a donné l'envie de poursuivre sur cette voie.
Parallèlement à cette passion artistique, j'ai suivi un cursus scientifique, poussé par l'envie de comprendre le fonctionnement du monde. Les mathématiques, la physique, la biologie m'ouvraient les portes d'un univers rationnel, ordonné. Mais quelque chose me manquait. J'avais l'impression de vivre une vie en deux temps, une vie de la raison et une vie de l'émotion.
C'est lors de mes études de sciences humaines que j'ai commencé à trouver un équilibre. J'ai découvert l'importance de l'histoire, de la sociologie, de la psychologie pour comprendre l'homme et la société. Ces connaissances m'ont enrichi et m'ont permis d'avoir une vision plus nuancée du monde.
Pourtant, je ne me voyais pas enfermé dans un bureau, à analyser des données ou à théoriser sur le comportement humain. J'avais besoin d'un métier qui me permette de créer, de transformer, de laisser une trace tangible dans le monde. C'est lors d'une rencontre fortuite avec une ancienne camarade d'école, architecte de formation, que ma vocation s'est révélée.
Elle m'a parlé de son métier avec une telle passion que j'ai été immédiatement séduit. L'idée de concevoir des espaces, de donner vie à des projets, de travailler avec des matériaux, de collaborer avec d'autres professionnels... Tout cela résonnait en moi. J'ai réalisé que l'architecture me permettait de réunir mes deux passions : la création artistique et la réflexion rationnelle.
C'est ainsi que j'ai décidé de me réorienter. Les concours d'entrée aux Beaux-Arts ont été une épreuve, mais la perspective de devenir architecte m'a donné la force de persévérer. Aujourd'hui, je suis comblé de pouvoir exercer ce métier qui me permet d'exprimer ma créativité, de contribuer à améliorer le cadre de vie des gens et de laisser une empreinte durable dans le paysage urbain.
Votre formation en sciences humaines, psychologie et sociologie joue-t-elle un rôle dans votre approche architecturale ? Si oui, comment ?
Si le dessin a longtemps été considéré comme le langage universel de l'architecte, mon parcours m'a amené à élargir mon horizon. Je suis convaincu que la construction d'un bâtiment va bien au-delà de la simple réalisation d'un projet esthétique. C'est avant tout une aventure humaine, une rencontre entre l'homme et son environnement.
Mon intérêt s'est porté vers les sciences humaines, car elles m'ont offert une grille de lecture plus fine de la société et de ses besoins. La psychologie, en particulier, m'a permis de comprendre comment les individus perçoivent et interagissent avec les espaces. Un aménagement bien pensé peut influencer notre humeur, notre productivité, voire notre santé. L'ergonomie, quant à elle, nous rappelle l'importance d'adapter les espaces aux capacités et aux limites du corps humain.
La sociologie m'a ouvert les yeux sur les dimensions sociales de l'architecture. Les bâtiments ne sont pas neutres, ils sont le reflet de notre société, de ses valeurs et de ses inégalités. En étudiant les usages des espaces, nous pouvons concevoir des bâtiments plus justes et plus inclusifs. Par exemple, la création d'espaces publics de qualité peut favoriser le lien social et contribuer à renforcer le sentiment d'appartenance à une communauté.
L'ethnologie, enfin, nous invite à considérer les dimensions culturelles de l'architecture. Chaque culture a ses propres codes et ses propres représentations de l'espace. L'architecte doit donc être sensible à la diversité culturelle et s'adapter aux spécificités de chaque contexte.
En intégrant ces différentes dimensions, l'architecte devient un véritable médiateur entre l'homme et son environnement. Il a la responsabilité de créer des espaces qui non seulement répondent à des besoins fonctionnels, mais qui contribuent également à améliorer la qualité de vie des utilisateurs.
Prenons l'exemple d'un hôpital. Un espace d'attente calme et lumineux, conçu en tenant compte des principes de la psychologie environnementale, peut contribuer à réduire l'anxiété des patients. Une chambre individuelle, équipée d'un mobilier ergonomique et offrant une vue sur la nature, peut favoriser le repos et la récupération.
Dans le domaine de l'éducation, l'architecture joue également un rôle crucial. Des espaces de collaboration flexibles et lumineux peuvent encourager l'apprentissage actif et favoriser les échanges entre les élèves.
En conclusion, l'architecture est une discipline qui se situe à la croisée des sciences et des arts. En intégrant les apports des sciences humaines, nous pouvons concevoir des bâtiments qui sont à la fois beaux, fonctionnels et porteurs de sens. L'architecte, en tant qu'humaniste, a la responsabilité de créer des espaces qui répondent aux besoins et aux aspirations des individus, tout en tenant compte des enjeux environnementaux et sociaux.
Pourriez-vous nous expliquer comment votre expérience au sein des Ateliers Jean Nouvel a influencé votre vision architecturale, notamment en termes de design minimaliste et écologique ?
Mon parcours au sein des Ateliers Jean Nouvel a été une véritable révélation pour moi. Plonger au cœur d'une agence aussi emblématique m'a permis de saisir les nuances d'une architecture qui allie audace créative et rigueur technique.
L'une des premières leçons que j'ai retenues est l'importance du contexte. Chaque projet était conçu comme une réponse spécifique à son environnement, en tenant compte de l'histoire du lieu, de son climat et de ses habitants. Cette approche contextuelle m'a profondément marqué et guide désormais toutes mes réalisations. Je suis convaincu qu'un bâtiment ne peut se concevoir en vase clos, mais doit s'inscrire harmonieusement dans son paysage urbain et naturel.
L'héritage de Jean Nouvel m'a également sensibilisé à la puissance de la lumière et des matériaux. J'ai appris à travailler avec la lumière naturelle, à exploiter les jeux d'ombres et de transparence pour créer des atmosphères uniques. Quant aux matériaux, j'ai développé une véritable passion pour les matières brutes et naturelles, qui confèrent aux bâtiments une âme et une authenticité indéniables.
Le minimalisme, bien présent dans l'œuvre de Nouvel, m'a également influencé. Je suis convaincu que la simplicité est une source de force et d'élégance. En éliminant le superflu, on met en valeur l'essentiel et on crée des espaces plus durables et plus lisibles. Cependant, je ne conçois pas le minimalisme comme une esthétique figée, mais plutôt comme une démarche qui consiste à rechercher la justesse et l'équilibre.
L'engagement de Jean Nouvel en faveur de l'environnement a été un autre élément déterminant. J'ai compris que l'architecture avait un rôle crucial à jouer dans la transition écologique. Au sein des Ateliers, j'ai participé à des projets innovants en matière d'efficacité énergétique, d'utilisation de matériaux recyclés et de valorisation des ressources naturelles. Cette expérience m'a conforté dans l'idée qu'il est possible de concilier esthétique et performance environnementale.
Au-delà des aspects techniques, j'ai été frappé par la dimension poétique de l'architecture de Nouvel. Ses bâtiments ne sont pas de simples constructions, mais des œuvres d'art qui suscitent l'émotion et invitent à la contemplation. Cette dimension artistique est essentielle à mes yeux. L'architecture doit non seulement répondre à des besoins fonctionnels, mais aussi nourrir l'âme et enrichir notre expérience du monde.
En conclusion, mon passage aux Ateliers Jean Nouvel a été une véritable école de l'architecture. J'ai acquis une solide formation technique, une sensibilité esthétique développée et une conscience aiguë des enjeux environnementaux. Ces acquis me guident aujourd'hui dans ma pratique professionnelle. Je suis convaincu que l'architecture a le pouvoir de transformer notre environnement et d'améliorer notre qualité de vie. C'est pourquoi je m'engage à créer des bâtiments qui soient à la fois beaux, fonctionnels et durables.
Votre agence aadd+ est réputée pour sa démarche holistique dans la conception architecturale. Qu'est-ce que cela signifie concrètement et comment cela se traduit-il dans vos projets ?
Chez aadd+, nous concevons l'architecture comme une invitation au voyage, un dialogue entre l'homme et son environnement. Nous ne nous contentons pas d'ériger des bâtiments, nous tissons des liens entre le passé et le futur, entre la nature et la culture.
Notre démarche est celle d'un sculpteur qui façonne la matière avec respect, en révélant la beauté cachée des lieux. Nous écoutons la terre, le vent, la lumière, pour comprendre les rythmes et les harmonies qui animent chaque site. Chaque projet est une aventure unique, une exploration de nouvelles possibilités, une quête de l'équilibre parfait entre l'esthétique et la fonctionnalité.
Nous croyons en l'importance des matériaux. Ils sont les témoins de notre histoire, les gardiens de notre mémoire. Nous privilégions les matériaux naturels, locaux et durables, car ils créent un lien tangible entre le bâtiment et la terre. Le bois, la pierre, la terre crue... autant de matières qui respirent, qui vieillissent et qui racontent une histoire.
La lumière est notre guide. Nous la capturons, nous la réfléchissons, nous la diffusons pour créer des atmosphères uniques et intimes. Nous jouons avec les ombres et les contrastes pour donner vie à nos espaces. La lumière naturelle, en particulier, est essentielle à notre bien-être. Elle rythme nos journées, elle nous connecte au cycle des saisons.
Le son est un autre élément fondamental de notre approche. Nous prêtons une attention particulière à l'acoustique de nos bâtiments, afin de créer des espaces où l'on se sent bien, où l'on peut se concentrer, se détendre, ou simplement écouter le silence.
Nous concevons nos bâtiments comme des lieux de vie, des refuges où l'on se ressource. Nous voulons que nos espaces soient à la fois confortables et inspirants, qu'ils stimulent notre créativité et favorisent les échanges. C'est pourquoi nous impliquons les futurs utilisateurs dès les premières phases du projet. Leurs rêves, leurs aspirations, leurs habitudes de vie sont autant d'éléments qui nourrissent notre réflexion.
Nous sommes convaincus que l'architecture a un rôle essentiel à jouer dans la construction d'un avenir plus durable. En choisissant des matériaux sains et en optimisant les performances énergétiques de nos bâtiments, nous contribuons à préserver notre planète. Mais notre engagement va au-delà de la simple performance environnementale. Nous souhaitons créer des bâtiments qui s'intègrent harmonieusement dans leur environnement, qui respectent la biodiversité et qui favorisent les modes de vie durables.
En somme, notre approche holistique nous permet de créer des architectures qui sont à la fois belles, intelligentes et responsables. Des architectures qui nous relient à la nature, à l'histoire et à nos semblables. Nous sommes convaincus que l'architecture a le pouvoir de transformer nos villes et nos vies, de créer des lieux où il fait bon vivre.
L'intégration de pratiques bioclimatiques et de matériaux durables est au cœur de votre approche. Quelles sont les plus grandes difficultés que vous avez rencontrées en mettant cela en œuvre, et comment les avez-vous surmontées ?
La construction bioclimatique, bien qu'étant une réponse essentielle aux enjeux environnementaux actuels, n'est pas exempte de défis. En tant qu'architecte spécialisé dans ce domaine, je souhaite partager avec vous les principales difficultés que nous rencontrons et les solutions que nous mettons en œuvre pour les surmonter.
Il est vrai que les matériaux naturels et les techniques de construction passive peuvent représenter un investissement initial plus élevé. Cependant, il est important de considérer les économies d'énergie à long terme qu'ils permettent de réaliser. De plus, de nombreuses aides financières existent pour soutenir les projets de construction bioclimatique. Il est essentiel de bien s'informer sur les crédits d'impôt, les éco-prêts et les subventions locales.
La construction bioclimatique nécessite une expertise pointue et une connaissance approfondie des matériaux et des techniques. Pour répondre à cette exigence, il est indispensable de suivre régulièrement des formations et de collaborer avec des bureaux d'études spécialisés. Le partage d'expérience au sein d'un réseau de professionnels est également un atout précieux.
La réglementation thermique et environnementale évolue rapidement, ce qui peut complexifier la mise en œuvre des projets. Il est donc crucial de se tenir informé des dernières normes et de faire appel à un bureau de contrôle pour s'assurer de la conformité de chaque réalisation.
La disponibilité des matériaux durables peut varier en fonction des régions. Pour pallier cette difficulté, nous privilégions les fournisseurs locaux et nous anticipons nos besoins en matière de matériaux.
Les maîtres d'ouvrage peuvent être réticents à adopter de nouvelles pratiques de construction. Il est donc important de les sensibiliser aux avantages de la construction bioclimatique en termes de confort, de santé et d'économie d'énergie. Les études de cas de projets réussis sont également un excellent moyen de les convaincre.
La construction bioclimatique requiert une coordination précise entre les différents corps de métier. Un cahier des charges détaillé et un suivi de chantier rigoureux sont indispensables pour garantir la qualité de la réalisation.
Il est également important de considérer l'impact environnemental des matériaux tout au long de leur cycle de vie et de trouver des solutions pour assurer le confort d'été dans les bâtiments. L'adaptabilité des solutions bioclimatiques à chaque contexte géographique et à chaque type de bâtiment est un autre enjeu majeur.
Vers une construction plus durable
En surmontant ces défis, nous contribuons à la transition vers une construction plus durable et plus respectueuse de l'environnement. Je reste à votre disposition pour vous apporter davantage d'informations sur les matériaux biosourcés, les techniques de construction passive, les énergies renouvelables et les certifications environnementales."
Pouvez-vous nous parler du processus créatif derrière la conception du nouvel Hôtel du Golf à Marolles-en-Brie ? Comment avez-vous concilié modernité, nature et lumière dans ce projet ?
L'architecture hôtelière d'aujourd'hui se réinvente en permanence, cherchant à offrir des expériences toujours plus enrichissantes à ses hôtes. Pour y parvenir, nous privilégions une approche qui mêle harmonieusement confort, esthétique et respect de l'environnement.
Notre objectif est de créer des espaces ou la modernité dialoguerait avec la nature et la lumière. Imaginez un hôtel ou le bois chaleureux côtoie le verre transparent, où les plantes grimpantes habillent les murs et où la lumière naturelle inonde chaque pièce. C'est cette sensation d'être en symbiose avec son environnement que nous souhaitons offrir à nos clients.
Pour ce faire, nous utilisons des matériaux nobles et naturels, tels que la pierre ou le bambou, qui apportent une touche d'authenticité et de bien-être. Nous intégrons également de nombreuses plantes, créant ainsi des oasis de verdure au cœur de l'hôtel. Et pour renforcer ce lien avec la nature, nous aménageons les espaces de manière à offrir des vues dégagées sur des paysages apaisants.
La lumière, quant à elle, est un élément clé de notre démarche. Nous maximisons l'apport de lumière naturelle grâce à de grandes baies vitrées et à des puits de lumière ingénieusement conçus. Des systèmes de protection solaire nous permettent de moduler la luminosité en fonction des besoins et des saisons.
Côté design, nous privilégions des lignes épurées et un mobilier contemporain, qui s'intègrent parfaitement à cet environnement naturel. L'éclairage artificiel, intelligent et modulable, vient compléter l'éclairage naturel pour créer des ambiances chaleureuses et intimes.
Enfin, nous sommes convaincus que l'architecture hôtelière a un rôle important à jouer dans la préservation de notre planète. C'est pourquoi nous intégrons des technologies durables dans nos projets, telles que le chauffage géothermique ou les panneaux solaires.
En somme, notre ambition est de concevoir des hôtels qui soient à la fois des havres de paix et des lieux de vie où il fait bon se ressourcer. Des espaces où l'architecture devient un vecteur d'émotions et contribue au bien-être de chacun
Avec l'évolution rapide des technologies comme le BIM, comment voyez-vous l'avenir de l'architecture durable et minimaliste évoluer, et quelles innovations attendez-vous avec impatience pour vos futurs projets ?
Quand j’ai commencé à tracer mes premiers plans, à l’époque où la boîte à compas était reine et où les calques emplissaient nos tables à dessin, je n’aurais jamais imaginé l’évolution fulgurante que connaîtrait notre métier. Aujourd’hui, l’architecture est devenue une discipline hautement technologique, où le numérique a profondément transformé nos méthodes de création et de construction.
Souvenez-vous de ces heures passées à peaufiner un plan, à effacer et à retracer encore et encore ? Le dessin assisté par ordinateur a révolutionné cette approche. Plus qu’un simple outil de dessin, il nous offre une liberté créative sans précédent. On peut désormais donner vie à des formes complexes, des courbes audacieuses qui étaient impensables il y a quelques décennies. Regardez les œuvres de Zaha Hadid : des bâtiments sculpturaux, presque organiques, qui défient les lois de la gravité. C’est grâce à la modélisation 3D que de telles prouesses architecturales sont devenues possibles.
Le BIM, ou Building Information Modeling, est une autre avancée majeure. C’est un peu comme un jumeau numérique du bâtiment, un modèle 3D ultra-détaillé qui contient toutes les informations sur le projet : les matériaux, les équipements, les réseaux... Grâce au BIM, nous pouvons simuler le comportement du bâtiment avant même qu’il ne sorte de terre. On peut ainsi optimiser son orientation pour capter au mieux la lumière naturelle, choisir les matériaux les plus performants sur le plan énergétique, et anticiper d’éventuels problèmes de construction.
Imaginez un peu : on peut tester différentes configurations de fenêtres pour trouver le meilleur compromis entre luminosité et isolation thermique. On peut visualiser les flux d’air à l’intérieur du bâtiment pour garantir un confort optimal. Et tout cela, bien avant de poser la première brique !
L’intelligence artificielle, quant à elle, vient encore enrichir nos outils. Elle peut nous aider à trouver des solutions innovantes, à optimiser les formes des bâtiments pour réduire leur consommation énergétique, et même à automatiser certaines tâches répétitives. C’est un peu comme avoir un assistant personnel ultra-intelligent à nos côtés.
Et puis, il y a la fabrication numérique. L’impression 3D, par exemple, ouvre des perspectives incroyables. On peut désormais créer des éléments architecturaux complexes, personnalisés, avec une précision inégalée. Imaginez des façades entièrement personnalisées, des ornements uniques, des structures complexes qui défient les lois de la géométrie.
Tous ces outils numériques nous permettent de créer des bâtiments plus durables, plus performants et plus beaux. Mais ce n’est pas tout. Ils nous permettent aussi de mieux collaborer avec nos clients. Grâce à la réalité virtuelle, nous pouvons les immerger dans leur futur espace de vie, leur faire découvrir leur maison avant même qu’elle ne soit construite. C’est une expérience unique qui renforce le lien entre l’architecte et son client.
Bien sûr, cette révolution numérique n’est pas sans poser de défis. Il faut investir dans de nouveaux logiciels, former les équipes, et trouver des solutions pour assurer l’interopérabilité entre les différents outils. Mais les bénéfices sont immenses. En adoptant ces nouvelles technologies, nous pouvons contribuer à construire un avenir plus durable, où les bâtiments sont conçus pour être au service de l’homme et de la planète.
Pour en savoir plus :
AADD+ / Duboëlle Architecte : https://www.linkedin.com/company/1938759/
Vincent Duboëlle : https://www.linkedin.com/in/vincent-dubo%C3%ABlle-64519614